© Delcourt 2017 : Hernandez |
- quatre-vingt-seize planches,
- deux cases par page,
- une douzaine de fellations,
- deux cunnilingus et autant anulingus,
- une bonne dizaine de cravate de notaire,
- quelques séquences en solitaire,
- des levrettes à profusion,
- un nombre conséquent de positions dite du « missionnaire »,
- ...
- deux cases par page,
- une douzaine de fellations,
- deux cunnilingus et autant anulingus,
- une bonne dizaine de cravate de notaire,
- quelques séquences en solitaire,
- des levrettes à profusion,
- un nombre conséquent de positions dite du « missionnaire »,
- ...
Et toujours pas de raton-laveur !
Alors,
s’il n’est pas fait abstraction d’une mise en couleur limitée, d’un
dessin des plus simplistes, de dialogues insipides, d’un scénario plus
tenu qu’un string brésilien et une accumulation de coïts champêtres qui
laisse à penser que l’Homme descend bien du singe et plus
particulièrement du Bonobo, il n’y a aucune raison de garder Jardin
d’Eden dans sa bibliothèque après l’avoir lu.
À oublier !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire