Les innocents coupables : 3. La liberté
Jean, Miguel, Adrien et Honoré préparent une nouvelle évasion
et, cette fois, pas question d’échouer à nouveau en quartier
disciplinaire. Il ne s’agira pas de fuir droit devant, mais de bien
préparer son coup pour que cette dernière tentative… soit la bonne.
Dernier volet de la trilogie des Innocents coupables pour Laurent Galandon et Anlor. Sur une base préparée depuis deux albums, les auteurs relatent la patiente mise en œuvre d’une escapade spectaculaire et orchestrée de première. Un dénouement qui permettra aux héros de sortir de leur condition de forçat pour enfin vivre normalement, du moins comme avant !
Cette série confirme le talent de scénariste de Laurent Galandon qui sait, sur des sujets telle la colonie pénitentiaire de Mettray ou le retour au pays d’un combattant de 14-18 (Pour un peu de bonheur), porter des scénarios qui ouvrent sur des récits complexes et parfaitement structurés qui savent finalement résister à la facilité du happy-end. Parallèlement, afin d’accompagner ce récit, le dessin d’Anlor a su évoluer, délaissant les rondeurs au profit des angles, mieux à même de rendre compte des privations et de la dureté des conditions de vie de cette maison de redressement.
Ainsi, ce referme une histoire plaisamment racontée.
© Bamboo 2013 - Galando & Bizot |
Dernier volet de la trilogie des Innocents coupables pour Laurent Galandon et Anlor. Sur une base préparée depuis deux albums, les auteurs relatent la patiente mise en œuvre d’une escapade spectaculaire et orchestrée de première. Un dénouement qui permettra aux héros de sortir de leur condition de forçat pour enfin vivre normalement, du moins comme avant !
Cette série confirme le talent de scénariste de Laurent Galandon qui sait, sur des sujets telle la colonie pénitentiaire de Mettray ou le retour au pays d’un combattant de 14-18 (Pour un peu de bonheur), porter des scénarios qui ouvrent sur des récits complexes et parfaitement structurés qui savent finalement résister à la facilité du happy-end. Parallèlement, afin d’accompagner ce récit, le dessin d’Anlor a su évoluer, délaissant les rondeurs au profit des angles, mieux à même de rendre compte des privations et de la dureté des conditions de vie de cette maison de redressement.
Ainsi, ce referme une histoire plaisamment racontée.
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