© Glénat 2017 - Higgins &Mooney |
Dans un coin paumé au milieu de nulle part, des anciennes gloires de
la Guerre froide vivent en huis clos et protègent un secret jusqu’ici
bien gardé…
Premier essai sur un format franco-belge pour Kyle Higgins
et Stephen Mooney.
À la croisée de deux mondes, The dead
hand hésite à choisir véritablement son camp et manque trop souvent de
précision dans l’encrage des physionomies et la dynamique des
personnages : ce qui passe inaperçu en 18 x 28 ne l’est plus forcément
sur une pagination 24 x 32 !
Pour ce qui est du fond du
récit, ce mélange de thriller et de science-fiction se met doucement en
place et laisse présager quelques surprises à venir. Toutefois, ce
premier tome se contente de passer en revue - au travers de quelques
flashbacks et une voix off en narration - les principaux acteurs et
d’installer une atmosphère pesante de faux-semblant.
Les
reliques de la guerre froide se révèle être un volet introductif
efficace, mais qui tarde quelque peu à vraiment monter en puissance. En
espérant que le second saura remédier à cette situation.
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