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Les séries au long cours n’ont d’intérêt que si le sujet s’y prête et
que chaque album apporte sa contribution à une histoire dont la
complexité comme l’intrique permettent les développements conséquents.
Globalement
Prométhée répond à cette définition, même si l’exercice s’avère
périlleux sur la durée. Cependant, pour ce dix-huitième volet, la
question qui vient immédiatement à l’esprit est : pourquoi ? Pourquoi
avoir publié La théorie du grain de sable qui n’apporte rien de
fondamental à la compréhension du récit et qui semble exister uniquement
pour faire le nombre ?
À oublier, d’autant plus que Stefano Raffaele n’est plus aux pinceaux.
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