Les terres de Germanie font peur à Rome et le préfet Varus est là pour imposer définitivement la puissance romaine. Telle n’est pas la vision d’Arminius qui devenu roi des Chérusques, se rêve désormais en chef de guerre germain plutôt qu’en préfet romain… Arminius veut défier Rome !
Enrico Marini est un dessinateur de talent et « Les Aigles de Rome » constitue certainement sa série la plus aboutie car au delà de l’indéniable qualité graphique de son dessin, l’approche des personnages est totalement différente de celle que l’on ne retrouve sur « le Scorpion ». Amitié, sexe, passion et trahison prennent ici une toute autre dimension et s’inscrivent non seulement dans une trame historique (plus) forte et moins esthétisée mais également dans un graphisme plus réaliste. Gageons que le fait de passer de 3 albums à 5 (voire 6) permettra à Enrico Marini de complexifier encore plus ses personnages et de densifier son scénario afin d’aller au-delà des stéréotypes.
Rome est décidément à la mode. Avec « Murena », nous avons actuellement deux séries de choix qui prennent pour décors la même période historique. Mais si duo Delaby/Dufaux restent dans une Rome intra muros et très historique, Enrico Marini n’hésite pas à aller aux frontières de l’Empire là où la civilisation romaine avait le plus de mal à s’exprimer. A l’évidence, Enrico Marini s’appuie sur de sévères références bibliographiques mais son album n’en est pas pour autant historique et là réside toute sa différence et son intérêt !
Ce troisième opus des Aigles de Rome est un vrai plaisir pour les amateurs de scénarii qui se tiennent. Ajoutons à cela une approche graphique qui évite les pudibonderies inutiles et sait mettre en exergue les subtilités des guerres de conquête et l’on obtient un bon album, dense et solide.
Enrico Marini est un dessinateur de talent et « Les Aigles de Rome » constitue certainement sa série la plus aboutie car au delà de l’indéniable qualité graphique de son dessin, l’approche des personnages est totalement différente de celle que l’on ne retrouve sur « le Scorpion ». Amitié, sexe, passion et trahison prennent ici une toute autre dimension et s’inscrivent non seulement dans une trame historique (plus) forte et moins esthétisée mais également dans un graphisme plus réaliste. Gageons que le fait de passer de 3 albums à 5 (voire 6) permettra à Enrico Marini de complexifier encore plus ses personnages et de densifier son scénario afin d’aller au-delà des stéréotypes.
Rome est décidément à la mode. Avec « Murena », nous avons actuellement deux séries de choix qui prennent pour décors la même période historique. Mais si duo Delaby/Dufaux restent dans une Rome intra muros et très historique, Enrico Marini n’hésite pas à aller aux frontières de l’Empire là où la civilisation romaine avait le plus de mal à s’exprimer. A l’évidence, Enrico Marini s’appuie sur de sévères références bibliographiques mais son album n’en est pas pour autant historique et là réside toute sa différence et son intérêt !
Ce troisième opus des Aigles de Rome est un vrai plaisir pour les amateurs de scénarii qui se tiennent. Ajoutons à cela une approche graphique qui évite les pudibonderies inutiles et sait mettre en exergue les subtilités des guerres de conquête et l’on obtient un bon album, dense et solide.
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