© Jungle 2016 - Mazaurette & Dagda |
Pas
facile d’être la digne héritière d’une illustre lignée de voleurs
surtout lorsque, comme Clémence, vous rêvez de passer vos journées à la
bibliothèque plutôt que de jouer les malandrins.
Petite friandise de chez Jungle avec Maïa Mazaurette à la machine à écrire et Dagda à la planche à dessins comme aux pinceaux, La ligue des voleurs donnera vraisemblablement quelques frissons d’émancipation aux très jeunes adolescentes, un brin romantiques, en mal d’identité ou de sensations. C’est gentil, un rien girly (c’est chez Jungle, ne l’oublions pas !), un tantinet moral et passablement coloré.
Bref, vite lu, vite oublié... du moins lorsque l'on est grand !
Petite friandise de chez Jungle avec Maïa Mazaurette à la machine à écrire et Dagda à la planche à dessins comme aux pinceaux, La ligue des voleurs donnera vraisemblablement quelques frissons d’émancipation aux très jeunes adolescentes, un brin romantiques, en mal d’identité ou de sensations. C’est gentil, un rien girly (c’est chez Jungle, ne l’oublions pas !), un tantinet moral et passablement coloré.
Bref, vite lu, vite oublié... du moins lorsque l'on est grand !
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